-. Vous ignorez la douce violence qu’un tendre amour fait sur nos cœurs ; et j’appréhende votre sagesse. VALÈRE.- Non. [11] Ce qui nous est propre : ce qui nous convient. (1682). Individualisme, proche de ses sous, intérêt pour le confort matériel... L'argent obsède les bourgeois que Molière ne manque pas de railler ! . Oui, tu as beau fuir. Il y avait au début de 1669, un espoir de remonter l’Avare, mais celui-ci fut balayé…. , qui est presque toujours malade, et pour qui cette aimable fille a des sentiments d’amitié qui ne sont pas imaginables. HARPAGON.- Pardonnez-moi, pardonnez-moi. (Il fouille dans les poches de la Flèche). Présentés par: Éloignons-nous un peu, pour nous achever notre confidence ; et nous joindrons après nos forces pour venir attaquer la dureté de son humeur. Pour le télécharger en entier, envoyez-nous un de vos documents grâce à notre système d’échange gratuit de ressources numériques ou achetez-le pour la modique somme d’un euro symbolique. Ci-dessous un extrait traitant le sujet : Britannicus, Racine Acte I, scène 1 (commentaire composé) Ce document contient 1380 mots soit 3 pages.Pour le télécharger en entier, envoyez-nous un de vos documents grâce à notre système d’échange gratuit de ressources numériques ou achetez-le pour la modique somme d’un euro symbolique. s, qui prennent garde à ce qu’on fait ? Mais avant que d’aller plus loin, je sais que je dépends d’un père, et que le nom de fils me soumet à ses volontés ; que nous ne devons point engager notre foi, sans le consentement de ceux dont nous tenons le jour ; que le Ciel les a faits les maîtres de nos vœux, et qu’il nous est enjoint de n’en disposer que par leur conduite [9] Que par leur conduite : que conduits par eux, qu’en suivant leur avis. Il tâte le bas de ses chausses.- Ces grands hauts-de-chausses sont propres à devenir les recéleurs des choses qu’on dérobe ; et je voudrais qu’on en eût fait pendre quelqu’un [19] Je voudrais qu’on en eût fait pendre quelqu’un : je voudrais qu’on eût fait pendre quelqu’un pour avoir caché son larcin dans son haut-de-chausses. ÉLISE.- J’en vois beaucoup, mon frère, dans les choses que vous me dites ; et pour comprendre ce qu’elle est, il me suffit que vous l’aimez. ÉLISE.- Je ne sais si j’aurai la force de lui faire cette confidence.
HARPAGON.- Oui. HARPAGON.- Non, coquin, je ne dis pas cela. Hors d’ici tout à l’heure, et qu’on ne réplique pas. (ceci n’est pas un modèle, mais évidemment un exemple. Acte I Scène I Valère, Elise Valère Hé quoi ? Il est vrai que votre fille vous peut représenter que le mariage est une plus grande affaire qu’on ne peut croire ; qu’il y va d’être heureux, ou malheureux, toute sa vie ; et qu’un engagement qui doit durer jusqu’à la mort, ne se doit jamais faire qu’avec de grandes précautions [37] Toute cette phrase depuis Il est vrai... est indiquée par l’édition de 1682 comme étant sautée à la représentation. L’Avare [26] L’état : "la manière somptueuse, simple ou modeste dont on s’habille. HARPAGON.- Certes, ce n’est pas une petite peine que de garder chez soi une grande somme d’argent ; et bienheureux qui a tout son fait [21] Son fait : son avoir, sa fortune. 4-Mouvement littéraire à vous aborder, de peur de vous interrompre. HARPAGON.- Et moi, je pourrais bien parler à ta barrette [i] Barrette : "bonnet dont on use en Italie. Sommaire
D'après leurs dialogues, ils se connaissent et se sont rencontrés récemment. Année scolaire : 2014-2015 HARPAGON.- Qu’elle a toute la mine de faire un bon ménage ? J’y fais des progrès admirables ; et j’éprouve que pour gagner les hommes, il n’est point de meilleure voie, que de se parer à leurs yeux de leurs inclinations ; que de donner dans leurs maximes, encenser leurs défauts, et applaudir à ce qu’ils font. [29] Au denier douze : à un denier d’intérêt pour onze prêtés, soit 8,33%. La Nouvelle Compagnie…. Scène 1 [1] Il s’agit d’une promesse mutuelle de mariage que les deux jeunes gens ont signée la veille, et que Valère mentionnera à la fin de la scène 3 de l’acte V. [4] Je retranche mon chagrin : je limite, je réduis mon chagrin (par crainte du blâme). distribution résumé de la pièce questions à Gisèle Sallin, metteuse en scène questions à Jean-Claude De Bemels, scénographe et créateur des costumes questions à Caroline Charrière, compositrice citations origines et sources de l’œuvre réception de l’œuvre L’Avare en répliques le poids de l’argent la vie de Molière en cinq temps commedia dell'arte et lazzi résumé de l’Aulularia de Plaute L'Aulularia, monologue – acte IV, scène 9 L’Avare, monologue d’Harpagon…. ÉLISE.- Hélas ! Je sais ce qu’il faut à tous deux ; et vous n’aurez ni l’un, ni l’autre, aucun lieu de vous plaindre de tout ce que je prétends faire. HARPAGON, père de Cléante et d’Élise, et amoureux de Mariane. LA FLÈCHE.- Je parle... Je parle à mon bonnet. Monsieur, je vais la suivre, pour lui continuer les leçons que je lui faisais. ÉLISE.- Non, Valère, je ne puis pas me repentir de tout ce que je fais pour vous. ÉLISE.- Ah ! ÉLISE.- Ah ! Il vient. Êtes-vous un homme volable, quand vous renfermez toutes choses, et faites sentinelle jour et nuit ? Le ton monte entre eux, et le valet finit par se faire chasser de la maison. Molière, L'Avare, Acte I, scène 2 Le 12/03/2009 à 13:00 par Clément Solym 0 Réactions | 0 Partages LA FLÈCHE, lui montrant une des poches de son justaucorps. je ne dis plus rien. Ici, La Flèche demande pardon d’employer le mot diable, qui porte malheur. En effet, cette cène est caractéristique de l’esprit des comédies de Molière : corriger les mœurs par le rire. Don Salluste va à la fenêtre. [25] Une constitition : une constitution de rente, qui était le substitut du prêt à intérêt. Heureux, qui peut avoir un domestique de la sorte ! VALÈRE.- Puisque les seules actions font connaître ce que nous sommes ; attendez donc au moins à juger de mon cœur par elles, et ne me cherchez point des crimes dans les injustes craintes d’une fâcheuse prévoyance. aux appréhensions du blâme qu’on pourra me donner. Cela ferme la bouche à tout, sans dot. au milieu de ma joie ! [10] N’étant prévenus d’aucune folle ardeur : n’ayant aucune folle prévention, n’étant possédés a priori d’aucune folle ardeur. Exposé de Français Ne vous alarmez point. Introduction 2. Que veut dire cela ? [17] Mouchard : "espion qui s’attache à suivre secrètement une personne pour en donner des nouvelles à la justice" (Dictionnaire de l’Académie, 1694). Tous les hommes sont semblables par les paroles ; et ce n’est que les actions, qui les découvrent [3] Découvrent : montrent, font voir. ÉLISE.- Je me tuerai plutôt, que d’épouser un tel mari. [18] Cette scène s’inspire de l’Aululaire de Plaute, où Euclion demande à voir "la troisième main" de Strobile. VALÈRE.- Je dis que dans le fond je suis de votre sentiment ; et vous ne pouvez pas que vous n’ayez raison [35] Vous ne pouvez pas que vous n’ayez raison : il ne se peut pas que vous n’ayez raison. HARPAGON.- C’est bien à toi, pendard ; à me demander des raisons : sors vite, que je ne t’assomme. L’AVARE de Molière
Vous savez que sur ce chapitre on n’en peut pas dire de bien. Problématique : En quoi l’œuvre de Molière l’Avare est-elle une pièce comique ? Tallemant, Boileau, La Bruyère) toujours si sensibles aux manifestations de l’amour de soi. HARPAGON.- Mais qui est-ce que tu entends par là ? ÉLISE. RANAIVOSON Tahiriniaina n°21 [i] Barrette : "bonnet dont on use en Italie. II-La Comédie HARPAGON.- Il y a une petite difficulté ; c’est que j’ai peur qu’il n’y ait pas avec elle tout le bien qu’on pourrait prétendre. A-t-on jamais vu une fille parler de la sorte à son père ? VALÈRE.- Hé quoi, charmante Élise, vous devenez mélancolique, après les obligeantes assurances que vous avez eu la bonté de me donner de votre foi ? 4. Acte I ... La scène 7 de l’acte IV illustre la folie d’Harpagon à son paroxysme, mais le registre dominant est comique.
* Acte I - L'intrigue se passe à Paris. VALÈRE.- Il faut demander un délai, et feindre quelque maladie. HARPAGON.- Va-t’en l’attendre dans la rue, et ne sois point dans ma maison planté tout droit comme un piquet, à observer ce qui se passe, et faire ton profit de tout. [23] Cela m’accommoderait fort : cela m’arrangerait bien. On le sait bien. Je vous vois soupirer, hélas ! On n’a que faire d’avoir peur de trop charger la complaisance ; et la manière dont on les joue, a beau être visible, les plus fins toujours sont de grandes dupes du côté de la flatterie ; et il n’y a rien de si impertinent, et de si ridicule, qu’on ne fasse avaler, lorsqu’on l’assaisonne en louange. Il sait ce que c’est que de vivre. HARPAGON.- Pourquoi ce cri ? Et pour cause, Jean Baptiste Poquelin de son vrai nom exploite les caractères des hommes pour composer ses pièces de théâtre. Valère, ne bougez d’ici, je vous prie ; et songez seulement à vous bien mettre dans l’esprit de mon père. d'actes 5
[7] Sans doute : sans aucun doute, assurément. Cette comédie en cinq actes et en prose de Molière a été écrite en 1668. Acte I – Scène 3 : Les personnages présents sont Harpagon et La Flèche, valet de Cléante. HARPAGON.- Comment, mon fils, trouvez-vous cette fille ? où l’on veut les conduire. HARPAGON.- Ah le brave garçon ! Mise en scène par Molière elle eu une grand succès. Mais elle pourrait vous dire que c’est un peu précipiter les choses, et qu’il faudrait au moins quelque temps pour voir si son inclination pourra s’accommoder avec... HARPAGON.- C’est une occasion qu’il faut prendre vite aux cheveux. Dans cette scène, Harpagon soupçonne La Flèche de lui avoir dérobé de l’argent. [6] Domestique se disait au XVIIe siècle de toute personne appartenant à la maison d’un grand seigneur ou d’un maître fortuné : Valère a été engagé par Harpagon comme intendant. CLÉANTE.- C’est de mariage, mon père, que nous désirons vous parler. VALÈRE.- Assurément, cela ne reçoit point de contradiction. L'Avare, c'est une comédie qui critique sans gêne les moeurs de la société vivant sous le régime de Louis XIV. Il ne faut point qu’elle regarde comme un mari est fait ; et lorsque la grande raison de sans dot s’y rencontre, elle doit être prête à prendre tout ce qu’on lui donne. HARPAGON.- Voilà Valère ; veux-tu qu’entre nous deux nous le fassions juge de cette affaire ? . On dit proverbialement et bassement parler à la barrette de quelqu’un pour dire le quereller, lui faire quelque reproche, quelque réprimande" (Dictionnaire de Furetière, 1690). Est−ce du regret, CLÉANTE.- Ah ! VALÈRE, ÉLISE. HARPAGON.- Que ce serait un parti souhaitable ? CLÉANTE.- Non ; mais j’y suis résolu ; et je vous conjure encore une fois, de ne me point apporter de raisons pour m’en dissuader. [19] Je voudrais qu’on en eût fait pendre quelqu’un : je voudrais qu’on eût fait pendre quelqu’un pour avoir caché son larcin dans son haut-de-chausses. Etes-vous satisfait ? Ce commentaire littéraire propose une analyse approfondie du monologue d’Harpagon dans L’Avare de Molière, avec le texte étudié, une mise en contexte et le commentaire en lui-même, structuré en différentes parties.Des clés pour mieux comprendre quelques-uns des enjeux essentiels de cette comédie de mœurs. (Ici le frère et la sœur paraissent s’entretenant bas. [33] N’est pas considérable : n’est pas à considérer, ne doit pas entrer en ligne de compte. Ne bougez, je reviens tout à l’heure. On apprend que Valère s'est engagé comme valet chez le père…. En fait, il s’agit seulement de l’habit de Cléante et du laquais qui l’accompagne en ville. ÉLISE.- Suis-je, mon frère, une si étrange personne ? HARPAGON.- Je vois bien que vous en avez ouï quelques mots. CLÉANTE.- Moi ? L’Avare de Molière. HARPAGON.- Je veux ce soir lui donner pour époux un homme aussi riche que sage ; et la coquine me dit au nez, qu’elle se moque de le prendre. Dix mille écus en or chez soi, est une somme assez... (Ici le frère et la sœur paraissent s’entretenant bas.) J’enrage. Ne serais-tu point homme à aller faire courir le bruit que j’ai chez moi de l’argent caché ? ÉLISE.- Mais quelle invention trouver, s’il se doit conclure ce soir ? Je m’y sens entraîner par une trop douce puissance, et je n’ai pas même la force de souhaiter que les choses ne fussent pas. . [27] Les aiguillettes : les lacets ferrés aux deux bouts, qui attachaient le haut-de-chausses au pourpoint ; la mode voulait qu’on les recouvrît de rubans coûteux. Ne m’assassinez point, je vous prie, par les sensibles coups d’un soupçon outrageux ; et donnez-moi le temps de vous convaincre, par mille et mille preuves, de l’honnêteté de mes feux. CLÉANTE.- Bien des choses, ma sœur, enveloppées dans un mot. In the great hall of the Capulets, all is a-bustle. VALÈRE.- Monsieur, je vous demande pardon, si je m’emporte un peu, et prends la hardiesse de lui parler comme je fais. ÉLISE.- Je suis très humble servante au seigneur Anselme ; mais, avec votre permission, je ne l’épouserai point. Mon cœur, pour sa défense, a tout votre mérite, appuyé du secours d’une reconnaissance où le Ciel m’engage envers vous. Un Commissaire et son Clerc | |
Mais enfin, si je puis, comme je l’espère, retrouver mes parents, nous n’aurons pas beaucoup de peine à nous le rendre favorable. Voilà qui crie vengeance au Ciel ; et à vous prendre depuis les pieds jusqu’à la tête, il y aurait là de quoi faire une bonne constitution [25] Une constitition : une constitution de rente, qui était le substitut du prêt à intérêt. I)Résumé par Actes et par scènes : Acte I Scène 1 Valère et Elise s'aiment. HARPAGON.- Non ; mais je t’empêcherai de jaser, et d’être insolent. . Coproduction
; qu’il en faut plutôt croire les lumières de leur prudence, que l’aveuglement de notre passion ; et que l’emportement de la jeunesse nous entraine le plus souvent dans des précipices fâcheux. ÉLISE.- Oui, j’en passerai par ce qu’il dira. Victor Hugo, Ruy Blas, Acte I, Scène 1 . Voilà qui décide tout, cela s’entend. LA FLÈCHE.- Qui se sent morveux, qu’il se mouche. Car enfin, peut-on rien voir de plus cruel, que cette rigoureuse épargne qu’on exerce sur nous ? Ici, La Flèche demande pardon d’employer le mot diable, qui porte malheur. 3-Bibliographie ÉLISE.- Mais que ne tâchez-vous aussi à gagner l’appui de mon frère, en cas que la servante [8] La servante : Dame Claude, dont Valère dira (V, 3) : "Elle a été témoin de notre engagement." DOSSIER PEDAGOGIQUE
Va-t’en à tous les diables. VAR. qu’elles peuvent avoir [15] Leur discrète conduite... : elles ont bien de la peine, malgré la sagesse avec laquelle elles règlent leurs dépenses, a couvrir tous leurs besoins avec les petites ressources qu’elles peuvent avoir. A Paris, le riche et avare Harpagon…. HARPAGON.- C’est une chose où je te réduirai. L’extrait va du début de l’acte I scène 1 jusqu’à la réplique de Dorine « Tout son fait, croyez-moi, n’est rien qu’hypocrisie.
HARPAGON.- Je te rosserai, si tu parles. [30] Nous marchandons [...] à qui parlera le premier : nous hésitons, nous n’arrivons pas à décider entre nous qui parlera le premier. Commentaire composé andromaque acte V, scène 1 Ci-dessous un extrait traitant le sujet : Commentaire composé andromaque acte V, scène 1 Ce document contient 1056 mots soit 2 pages. Voilà de mes damoiseaux flouets [34] Voilà de mes damoiseaux flouets : voilà de mes petits jeunes gens fluets, sans aucune santé. HARPAGON.- Et moi, j’ai quelque chose aussi à vous dire à tous deux. HARPAGON.- Qu’est-ce que tu parles de voler ? je crois qu’ils se font signe l’un à l’autre, de me voler ma bourse. différents. Pardonnez-moi, charmante Élise, si j’en parle ainsi devant vous. Saurait-elle mieux rencontrer ? Un homme mûr, prudent et sage, qui n’a pas plus de cinquante ans, et dont on vante les grands biens. .
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2 Pages • 4242 Vues Next. Il n’y a rien de plus faux ; et ce sont des coquins qui font courir tous ces bruits-là. Et pour commencer par un bout ; avez-vous vu, dites moi, une jeune personne appelée Mariane, qui ne loge pas loin d’ici ? [20] On sait que Louis Béjart, qui créa le rôle de La Flèche en 1668, était boiteux.
Lisez ce Divers Commentaire de texte et plus de 248 000 autres dissertation. [31] Sans doute : sans aucun doute, assurément. HARPAGON.- Tu m’as fait, que je veux que tu sortes. Themes and Colors Key LitCharts assigns a color and icon to each theme in Julius Caesar, which … Enfin j’ai voulu vous parler, pour m’aider à sonder mon père sur les sentiments où je suis ; et si je l’y trouve contraire, j’ai résolu d’aller en d’autres lieux, avec cette aimable personne, jouir de la fortune que le Ciel voudra nous offrir. LA FLÈCHE.- De quoi vous mettez-vous en peine ? HARPAGON.- Allons, rends-le-moi sans te fouiller. HARPAGON.- Ici, Valère. HARPAGON.- Cela m’accommoderait fort [23] Cela m’accommoderait fort : cela m’arrangerait bien. HARPAGON.- Cela est étrange ! L'Avare, film avec Louis de Funès 4 years ago. La première représentation a lieux le 9 septembre au théâtre du palais-royale à Paris. Quant à ton frère, je lui destine une certaine veuve dont ce matin on m’est venu parler ; et pour toi, je te donne au seigneur Anselme.
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ÉLISE.- Nous marchandons, mon frère et moi, à qui parlera le premier [30] Nous marchandons [...] à qui parlera le premier : nous hésitons, nous n’arrivons pas à décider entre nous qui parlera le premier. charmante Elise, vous devenez mélancolique, après les obligeantes assurances que vous avez eu la bonté de me donner de votre foi ? Molière, L'Avare, acte I, scène 3 . Sors d’ici encore une fois. Introduction : La première scène est informative. En effet, cette scène s’inscrit dans la continuité de l’acte 1 scène 1.Effectivement, dans la scène d’exposition Sganarelle, le valet … Montre-moi tes mains. RAMPANANA Joy n°19 Que veulent dire ces gestes-là ? Tais-toi. Médiocrement accueillie, elle n'est jouée que neuf fois avant d'être retirée. On dit proverbialement et bassement parler à la barrette de quelqu’un pour dire le quereller, lui faire quelque reproche, quelque réprimande" (Dictionnaire de Furetière, 1690). Dans la scène 3 de l’Acte V, Molière joue sur le mot « trésor » qui désigne pour Valère la jeune fille aimée et pour Harpagon sa chère cassette. Louis de Funès et Jean Girault, L'Avare Adaptation Louis de Funès et Jean Girault avec la collababoration artistique de Jean Halain Comédiens (extrait) : Louis de Funès (Harpagon), Bernard Menez (La Flèche) La nature, ma sœur, n’a rien formé de plus aimable ; et je me sentis transporté, dès le moment que je la vis. HARPAGON.- Cela ne sera rien. HARPAGON.- Et qui sont-ils ces avaricieux ? Lavare Acte 4 Scene 7 Commentaire Documents Gratuits. En fait, il s’agit seulement de l’habit de Cléante et du laquais qui l’accompagne en ville. Lieu de la 1re représentation en français Théâtre du Palais-Royal
COLLEGE / LYCEE
Acte I Scène I Octave, Silvestre Octave Ah ! 1-Définition de la…. HARPAGON. (Il lève la main pour lui donner un soufflet.) (À part.) On dit proverbialement et bassement, lui montrant une des poches de son justaucorps. Figurez-vous, ma sœur, quelle joie ce peut être, que de relever la fortune d’une personne que l’on aime ; que de donner adroitement quelques petits secours aux modestes nécessités d’une vertueuse famille ; et concevez quel déplaisir ce m’est, de voir que par l’avarice d’un père, je sois dans l’impuissance de goûter cette joie, et de faire éclater à cette belle aucun témoignage de mon amour. HARPAGON.- Les autres [18] Cette scène s’inspire de l’Aululaire de Plaute, où Euclion demande à voir "la troisième main" de Strobile. Ruy Blas, fermez la porte, – ouvrez cette fenêtre.
Ô Ciel ! HARPAGON.- Je crois ce que je crois ; mais je veux que tu me dises à qui tu parles quand tu dis cela. Elle la sert, la plaint, et la console avec une tendresse qui vous toucherait l’âme. [12] Une bonne femme de mère : une mère âgée. Art Prophétique : laissez l'Art révéler votre Intuition ... Politique de confidentialité - Californie (USA). 1671 : Les Fourberies de Scapin :
Qui diantre peut aller là contre ?
Est-ce le mot, ma fille, ou la chose, qui vous fait peur ? Act 3, scene 2. J’en attends des nouvelles avec impatience, et j’en irai chercher moi-même, si elles tardent à venir. à tous leurs besoins le peu de bien. I)Résumé par Actes et par scènes : HARPAGON.- Fais, fais. L’Avare ACTE I Scène 5. VALÈRE.- Oui, l’argent est plus précieux que toutes les choses du monde ; et vous devez rendre grâces au Ciel, de l’honnête homme de père qu’il vous a donné. HARPAGON.- Je te le mets sur ta conscience au moins. Pendant le repas, Harpagon découvrira que son fils est épris de cette même Marianne qu’il veut épouser. Il est bas" (Dictionnaire de l’Académie, 1694). HARPAGON.- Viens çà, que je voie. [9] Que par leur conduite : que conduits par eux, qu’en suivant leur avis.